Dans ce train
me ramenant chez moi,
Mon esprit
divague lentement,
Un visage
dans mon cœur en émoi,
Une espèce de
petit picotement.
4 jours,
c’est le temps qu’il m’a fallut
Pour m’habituer
brièvement,
Tel un
curieux élève assidu
A ces quelques
délicieux moments.
Volupté et
affection sont les mots
Que je
retiendrais de ce séjour,
Des larmes
coulant à flots,
Je me sépare
de cet amour.
Par delà la
fenêtre s’étend l’horizon,
Celui là même
que l’on regardait
Ensemble il y
a quelque heure
Nos cœurs
serrés ensemble
Tout cela me
rappelle l’émotion
Et la joie de
te contempler,
De mes yeux
admirateurs,
Celle à qui nulle ne ressemble.
Mon cœur et
ta montre battent
A l’unisson,
ils décomptent tout deux
Le temps qui
nous sépare de la date
Où je pourrais
de nouveau admirer tes yeux
Tels deux
objets liés l’un à l’autres
Ils sont
constamment inséparables
Comme nos
deux insignifiants êtres
Dont l’amour
est inaltérable.